Par les responsabilités politiques et syndicales qui furent les siennes, le président Yves Rispat a marqué la vie politique du Gers. Nos approches politiques étaient différentes, mais nous partagions, lui l’ancien sénateur et moi qui allait le devenir, le souci de l’avenir de la ruralité de notre département. Il appréciait aussi les dernières évolutions de la ville d’Auch. Il me l’avait dit, marquant son intérêt pour l’image que doit donner le chef-lieu du département. Dégagés de tout enjeu politique, nos échanges occasionnels étaient apaisés et agréables.
Je salue aujourd’hui sa mémoire.