Franck Montaugé vous adresse,
ainsi qu’à vos proches,
ses meilleurs vœux pour l’année 2017
Sénateur du Gers
Au moment de voter la proposition de loi pour les sapeurs-pompiers professionnels et volontaires, mardi au Sénat, le sénateur du Gers Franck Montaugé a salué l’initiative des députés socialistes et républicains de l’Assemblée nationale qui sont à l’origine d’un texte (lire ici) attendu par l’ensemble des sapeurs-pompiers de France.
« Je salue en particulier les sapeurs-pompiers du Gers et le travail des sapeurs-pompiers des territoires ruraux », a ajouté Franck Montaugé avant de voter pour cette proposition de loi, adoptée à l’unanimité.
« Cette proposition de loi consolide notre modèle en répondant à des attentes anciennes de nos sapeurs-pompiers, avait expliqué, en ouverture de la discussion générale, la ministre de la Fonction publique, Annick Girardin. C’est l’occasion, dit-elle, de dire la reconnaissance de la Nation à ces hommes et à ces femmes qui sont souvent en première ligne, pour beaucoup des volontaires, qui incarnent les valeurs de solidarité et de fraternité. »
La proposition de loi comporte deux réformes importantes:
D’autres dispositions du texte corrigent des situations devenues au fil du temps problématiques: est par exemple supprimée l’interdiction faite à certains militaires retraités de poursuivre leur engagement de sapeur-pompier volontaire.
Quatre nouvelles Maisons de service au public (MSAP) viennent d’être inaugurées dans le Gers, à Riscle, Aignan, Barcelonne-du-Gers et Plaisance-du-Gers. Le département du Gers compte désormais 15 Maisons de service au public dont 9 portées par des collectivités (1) et 6 portées par La Poste (2). Ces MSAP sont des guichets d’accueil polyvalents chargés d’accueillir, d’orienter et d’aider les usagers dans leurs relations avec les administrations et les organismes publics.
« On ne résoudra pas les problèmes d’aujourd’hui avec des solutions d’hier, les quatre MSAP que nous venons d’inaugurer le démontrent concrètement ! » a déclaré dans son intervention le sénateur Franck Montaugé pour qui « ces quatre projets illustrent également ce que doit apporter la démarche en cours de Schéma départemental d’amélioration de l’accessibilité des services au public, conduite dans le cadre de la loi NOTRe conjointement par l’Etat et le Conseil départemental du Gers ».
« Les démonstrations d’entretien à distance qui nous été faites par Pôle emploi nous permettent aussi de mesurer combien ces MSAP nécessitent, pour être à la hauteur des attentes des usagers, le recours au réseau numérique à très haut débit », ajoute Franck Montaugé. « À cet égard, dit-il, le Gers se distingue de beaucoup d’autres départements français, je le mesure régulièrement au Sénat quand j’entends mes collègues dire que tout reste à faire en matière d’organisation et de financement de l’action. Dans le Gers qui est devenu une référence en la matière, ces étapes sont derrière nous et il faut en féliciter le Conseil départemental et les intercommunalités du département qui se sont regroupés dans Gers numérique. »
Franck Montaugé a également tenu à souligner « le rôle extrêmement actif que joue le groupe La Poste dans le maillage du territoire par le biais de ces MSAP. Je note, dit-il, que même en zone urbaine -et ce sera le cas à Auch sous peu dans le cadre de la politique de la ville-, La Poste sait s’engager sous l’impulsion de son PDG et avec ses responsables régionaux et locaux, dans des solutions à caractère expérimental. La première MSAP dans un grand quartier d’habitat social verra ainsi le jour au Garros dans quelques temps. »
Evoquant le sujet de l’économie locale et de l’emploi, le sénateur du Gers note que « les difficultés pour maintenir les services publics sont aussi la conséquence des évolutions de l’emploi local. La présence de population, ses évolutions sont étroitement liées au dynamisme de l’emploi. À cet égard, dit-il, je voudrais dire combien Aignan est selon moi une commune exemplaire de ce qu’il est possible et nécessaire de faire pour construire un avenir économique prometteur à notre département. Deux entreprises locales en attestent : Schaerer dans le domaine de la sous-traitance aéronautique et de la mécanique et Pierre-Fabre. »
« La commune et son maire, Philippe Baratault et la communauté de communes Terres d’Armagnac avec son président Michel Petit contribuent à cette réussite. Je tenais à saluer leur action dont nous pouvons nous inspirer. Nous venons d’apporter en tant qu’élus gersois notre contribution à l’élaboration, engagée par le conseil régional Occitanie, du schéma régional de développement économique d’innovation et d’internationalisation (lire ici). La question de la diversification de l’économie gersoise y est abordée, en complément des fondamentaux que sont et doivent rester l’agriculture et l’agro-alimentaire. Bientôt nous travaillerons dans le même esprit sur le schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité du territoire (SRADDET) qui vient compléter le schéma régional de développement économique d’innovation et d’internationalisation (SRDEII). »
« C’est en croisant des démarches complémentaires, convergeant toutes vers l’objectif du service à nos concitoyens et du développement économique du territoire, que nous contribuerons tous à faire du Gers un territoire d’avenir. Les MSAP que nous avons inaugurées ce matin en donnent un bel exemple. Que tous ceux, élus fonctionnaires et salariés, qui ont contribué à leur création et demain à leur fonctionnement, en soient félicités ! »
1- Saint-Blancard (commune), Fleurance (commune), Miélan (communauté de communes Coeur d’Astarac en Gascogne), Mirande (communauté de communes Coeur d’Astarac en Gascogne), Vic-Fezensac (communauté de communes d’Artagnan en Fezensac), Villecomtal-surArros (communauté de communes Hautes Vallées de Gascogne), Montesquiou (commune), Lectoure (commune), Jégun (commune).
2- Aignan, Aubiet, Barcelonne-du-Gers, Plaisance-du-Gers, Riscle, Saint-Clar.
Les sénateurs Henri Cabanel (Hérault) et Franck Montaugé (Gers), ont voté mardi soir la proposition de résolution en faveur de la réduction des normes applicables à l’agriculture examinée au Sénat. Dans une intervention à la tribune, Franck Montaugé a expliqué pourquoi lui et son collègue votaient ce texte qui reste incomplet selon eux.
« L’enjeu est fort pour l’agriculture et c’est la raison pour laquelle avec Henri Cabanel nous nous sommes impliqués dans le travail que Daniel Dubois et Gérard Bailly ont mené depuis près d’un an », dit-il. « À la suite de leur rapport qui comprend une contribution spécifique de notre part, nous avons co-signé cette proposition de résolution parce que nous estimons que l’enjeu est important, a fortiori dans le contexte actuel difficile de l’agriculture française et parce que sur l’essentiel nous partageons les recommandations formulées. »
« Cependant, ajoute Franck Montaugé, certains points méritent d’être nuancés, précisés, d’autres complétés ou corrigés. C’est particulièrement vrai pour l’exposé des motifs de cette proposition de résolution. Il n’est pas juste, dit-il, de laisser entendre que peu ou pas grand-chose n’a été fait par le gouvernement en matière de simplification :
« Une feuille de route de la simplification a été mise en place par le ministre de l’Agriculture qui traduit la mise en œuvre d’une politique d’ensemble en matière de simplification. Le Comité de rénovation des normes en agriculture, le CORENA, créé par le gouvernement en mars 2016 en est la traduction. Notre collègue Odette Herviaux, missionnée par le Premier ministre, vient de lui remettre un rapport d’excellente facture qui fait des propositions précises et extrêmement positives en matière de simplification, d’approches nouvelles de l’élaboration de la norme ou de mise en œuvre pratique », ajoute Franck Montaugé.
« Nous avons aussi une divergence d’interprétation sur la question de la sur-transposition des normes de l’Union européenne qui constituent 80 à 90% des normes applicables à l’agriculture, poursuit le sénateur du Gers. […] Je constate aussi que quand nous demandons aux professionnels des exemples de sur-transpositions manifestes, on nous répond plutôt sur les procédures d’interprétation, d’application régionales et départementales. Ce qui pose davantage question que l’hypothétique sur-transposition nationale, c’est la production des normes européennes et la manière dont les instances européennes entendent se saisir de la question de la simplification des normes en agriculture. »
« Quoi qu’il en soit, nous considérons avec Henri Cabanel, que
et que d’autre part, cela est absent de la proposition de résolution,
« Si la norme peut être vécue par nos agriculteurs comme une contrainte, elle a ou elle peut avoir aussi des effets positifs. Dans un monde judiciarisé, où l’exigence de qualité et de sécurité alimentaire va grandissante, elle protège et elle peut aussi constituer un facteur de différenciation, un avantage comparatif, pour peu que cette approche soit intégrée dans une stratégie de filière adaptée à la conquête et aux exigences du consommateur. »
« La simplification des normes comme facteur de compétitivité certainement ! Mais l’utilisation de la norme comme moyen de protection, de conquête et de développement, donc de compétitivité, aussi ! Ne sommes-nous pas en retard là-dessus ?
Autrement dit :
A cet égard, je crains que les principes ultra-libéraux qui dictent les politiques européennes limitent la portée de l’indispensable révision du processus d’élaboration des normes européennes en agriculture. »
« Ces points importants ne sont pas abordés dans la proposition de résolution et on peut le regretter. Je note également que les sujets du compte pénibilité et de la complémentaire santé obligatoire sont abordés dans l’exposé des motifs sans être repris dans les résolutions soumises à notre vote. Pour nous, la question est effectivement plus celle de l’application, de la mise en œuvre pratique et si possible simple de ces dispositifs que celle de leur justification sociale qui n’est pas discutée dans l’exposé des motifs. »
« Au final, conclut Franck Montaugé, nous considérons que cette proposition de résolution, compte tenu des remarques que je viens d’exposer, constitue une démarche de plus vers une prise en compte au plus niveau – européen en particulier – de l’enjeu de compétitivité, de qualité et de développement auquel sont confrontées, dans leurs diversités, nos agricultures. Le gouvernement a démontré sa volonté de progresser dans ce sens. Sauf à demeurer dans l’incantation, il convient maintenant de construire au plan européen, une démarche collective politiquement efficace. Les rencontres à Bruxelles de la commission et de la COPA-COGECA m’ont fait comprendre que le chemin pourrait être long et difficile ! Alors faisons front au plan français d’abord, au-delà de nos divergences, pour soutenir les agriculteurs qui nous le demandent ! Pour cette raison nous voterons, en tant que co-signataires, les sept résolutions de ce texte. »
Téléchargez ici le texte de l’intervention de Franck Montaugé
Les sénateurs Henri Cabanel (Hérault) et Franck Montaugé (Gers) sont les cosignataires d’une tribune parue dans le numéro de novembre de La Revue du Trombinoscope, le guide professionnel du monde politique. Intitulé « Agriculture: la gestion des risques, une question cruciale », ce texte revient sur la proposition de loi votée à l’unanimité par le Sénat et qui vise à mettre en place des outils de gestion des risques en agriculture (lire ici). Franck Montaugé et Henri Cabanel qui en sont les co-auteurs expliquent le sens de ce texte qui propose de mettre en oeuvre de manière expérimentale au niveau des régions un instrument de stabilisation des revenus.
Voici le texte dans son intégralité:
« La crise qui frappe le monde agricole depuis plusieurs années doit nous pousser à réfléchir à de nouveaux modes de soutien et d’accompagnement de nos agriculteurs. Dans un contexte mondialisé imposant des contraintes très fortes et face aux faiblesses structurelles de certaines filières, c’est la pérennité même de pans entiers de notre agriculture qui est en question. Il en va également de l’aménagement du territoire et de la vie sur nos territoires ruraux et hyper – ruraux.
Volatilité des marchés, concurrence internationale exacerbée et parfois déloyale, difficulté à maintenir des prix rémunérateurs sont autant d’éléments qui, aujourd’hui, mettent des milliers d’agriculteurs au pied du mur et les jettent parfois dans la détresse la plus absolue.
S’ajoutent à cela de façon conjoncturelle des crises sanitaires ou diplomatiques. Sans une intervention publique forte, de nombreuses exploitations agricoles disparaîtront demain. Le Gouvernement a répondu à l’urgence des crises vécues par les filières, de plans de soutien conjoncturels en lois de finances successives. Pour faire face aux difficultés dans la durée, il faut envisager des réponses structurelles permettant des modes de soutien et d’accompagnement plus pérennes.
Dans ce cadre, la question de la gestion des risques par le développement de fonds de mutualisation ou/et assuranciels revêt une importance cruciale. Actuellement, des dispositifs existent en matière de gestion des risques climatiques et sanitaires.
Demeure néanmoins la question de l’aléa économique pour lequel, aujourd’hui, peu d’outils permettent réellement de sécuriser le revenu des agriculteurs. Certes, les aides de la PAC, notamment les aides directes, constituent un revenu minimum pour chaque agriculteur mais elles ne sauraient à elles seules constituer un outil de stabilisation des revenus. Parallèlement, les dispositifs proposés par le secteur privé sont très limités et peu efficients. Nous estimons donc nécessaire que des mesures soient le plus rapidement prises pour développer des mécanismes de gestion des risques économiques en agriculture.
Avec notre proposition de loi, nous proposons de mettre en œuvre, de manière expérimentale au niveau des régions, dans un premier temps, l’article 36 du règlement UE n°1305/2013 qui permet aux États membres de créer « un instrument de stabilisation des revenus, sous la forme de participations financières à des fonds de mutualisation, fournissant une compensation aux agriculteurs en cas de forte baisse de leurs revenus ».
Cinq pistes de financement sont envisagées : 1/ une contribution volontaire des agriculteurs, à l’échelle d’un territoire ou d’une filière, prenant la forme de l’orientation d’une partie de leur droit à paiement direct vers ces fonds dans une logique de mutualisation du risque 2/ une augmentation de la taxe sur les surfaces commerciales pour les surfaces de plus 2500 m2. Il s’agit de faire participer la grande distribution à l’effort collectif, au vu de sa responsabilité dans la guerre des prix sur les produits agricoles 3/ la mise en place d’une taxe sur les transactions financières agricoles réalisées sur les matières premières agricoles, comme juste retour de la spéculation sur l’agriculture 4/ une hausse de la contribution de la taxe sur la cession à titre onéreux de terrains nus rendus constructibles, pour lutter contre l’artificialisation des sols, en s’assurant d’un retour d’une partie de la plus-value de cession vers l’agriculture 5/ enfin, un abondement par l’État, les collectivités territoriales et éventuellement le FNGRA.
Ce texte qui a été voté à l’unanimité au Sénat montre bien la volonté des élus de tous bords d’avancer sur ce sujet. Au-delà de ce dispositif dont l’expérimentation devra être évaluée dans tous ses aspects, nous pensons que la création d’un 3e pilier de la PAC, exclusivement consacré à la gestion des risques et prioritairement les risques de marché, pourrait utilement être envisagée dans le cadre des débats de la future PAC (post 2020). »
Franck Montaugé, sénateur-maire d’Auch et Stéphane Martin, Pdg du musée du Quai Branly Jacques-Chirac ont inauguré le 21 novembre dernier à Paris l’exposition réalisée en partenariat avec le musée des Jacobins, Plumes, visions de l’Amérique précolombienne. Jusqu’au 29 janvier prochain, le musée des arts premiers présente, autour du thème de la plume, une cinquantaine de pièces des collections du musée des Jacobins d’Auch. Parmi elles, la fameuse Messe de Saint-Grégoire, tableau en plumes du XVIe siècle, des colliers de plumes, des statuettes, bijoux et objets sacrés.
« Ce moment est très émotionnel pour moi. C’est aussi un motif de fierté pour tous les habitants d’Auch et du Grand Auch passionnés de culture » avait déclaré en milieu de journée le sénateur-maire d’Auch devant une vingtaine de journalistes de la presse française et étrangère. « Cette exposition est une façon de valoriser notre musée et de montrer ce qu’un musée de province, à force de volonté et de persévérance, peut apporter aux plus grandes collections nationales. Je tiens tout particulièrement à remercier les donateurs qui depuis Guillaume Pujos, le premier d’entre eux, ont enrichi par leur générosité le musée des Jacobins : Lions / Stresser- Péan / Roullet / Lafuste – Réparaz / Cottier / Cougard – Fruman / Priet – Gaudibert. », dit-il.
Le musée des Jacobins est candidat à l’obtention du label Pôle national de référence que vient par ailleurs de créer la loi Liberté de création, architecture et patrimoine par le biais d’un amendement présenté par le sénateur Franck Montaugé (lire ici). Cette nouvelle disposition de la loi va permettre de favoriser le regroupement temporaire, dans des musées labellisés en Pôle national de référence (art précolombien pour Les Jacobins du Grand Auch), de collections publiques existantes dont la dispersion est importante et la taille modeste. Les musées qui prêteront leurs pièces pourront eux-mêmes bénéficier de prêts sur les thèmes qui les intéressent plus particulièrement.
Outre les musées du Quai Branly Jacques-Chirac et des Jacobins, 171 autres musées en France possèdent des objets d’art précolombien qui représentent 11% de l’inventaire national de référence réalisé par Pascal Mongne. « Ces pièces dispersées sur tout le territoire national de manière disparate pourraient utilement être mises en valeur sous l’impulsion d’un pôle national de référence, explique Franck Montaugé. Dans le cadre de conventions, un dispositif de dépôts compensatoires pourra être mis en place avec les fonds des musées nationaux pour encourager les musées territoriaux à déposer temporairement leurs collections. Le musée dépositaire pourra s’appuyer sur le label Pôle national de référence pour développer sa communication et augmenter sa notoriété publique. »
« Développé à l’échelle nationale et pour des collections de natures très diverses, ce dispositif pourrait constituer un axe nouveau et original des politiques territorialisées du ministère de la Culture et de la communication contribuant à l’aménagement et à la valorisation culturelle des territoires ruraux. Ces politiques pourraient être développées sans coût supplémentaire pour le budget de l’Etat, les frais induits étant assumés dans le cadre d’une convention par les parties prenantes locales des projets, sous label du ministère de la Culture et de la communication », poursuit le sénateur-maire d’Auch.
Lundi soir, de nombreux invités se sont pressés sur la mezzanine centrale du musée du Quai Branly où le conservateur du musée des Jacobins et commissaire de l’exposition Fabien Ferrer-Joly guidait les visiteurs. Cette exposition d’une exceptionnelle qualité, grâce aux prêts d’objets du musée du Quai Branly Jacques-Chirac, du musée d’Ecouan, du museum d’histoire naturelles de Montauban, de la cité de la céramique de Sèvres et de Gérard Priet, collectionneur privé et donateur, devrait contribuer à mieux faire connaître le musée des Jacobins et ses richesses. Le fructueux travail en partenariat avec le musée du Quai Branly Jacques-Chirac va également se poursuivre au-delà de ce premier événement public.